VMC Simple Flux Hygroréglable à Cholet (49) : Le Guide Complet pour une Aération Efficace, Économe et Conforme à la RE2020

Introduction : une aération performante au service du confort et de la santé

À Cholet, comme dans l’ensemble du Maine-et-Loire (49), les logements modernes bénéficient d’une isolation de plus en plus performante.
Si cette évolution réduit les déperditions thermiques, elle rend aussi la ventilation naturelle insuffisante. Résultat : l’humidité, les odeurs et les polluants peuvent s’accumuler, dégradant à la fois la qualité de l’air intérieur et l’état du bâtiment.

La VMC simple flux hygroréglable offre une réponse moderne et adaptée : elle assure un renouvellement d’air constant, tout en ajustant automatiquement le débit selon le taux d’humidité ambiant. Ce système intelligent contribue à la durabilité du logement, au bien-être des occupants et à la maîtrise énergétique, en conformité avec la réglementation environnementale RE2020.

Avertissement : Cet article est destiné à un public de particuliers ou de professionnels peu familiarisés avec ces problématiques. Il se présente comme une source de vulgarisation et non comme un guide d'ingénierie technique approfondi. Il ne vise pas à la rigueur scientifique et ne couvre pas de manière exhaustive toutes les causes, toutes les conséquences, ni l'ensemble des solutions possibles aux problématiques soulevées. En raison de cette approche généraliste, nous recommandons vivement la consultation d'un expert pour une analyse détaillée et adaptée à chaque situation spécifique.

1. Principe général de la VMC simple flux hygroréglable

La VMC simple flux hygroréglable repose sur un principe de balayage contrôlé de l’air.
Le dispositif aspire l’air vicié dans les pièces humides et fait entrer de l’air neuf dans les pièces principales.

Le système se compose de deux circuits :

• Aspiration de l’air vicié : réalisée par des bouches d’extraction placées dans les pièces de service (cuisine, salle de bains, WC).

• Entrée d’air neuf : effectuée via des grilles installées dans les pièces de vie (salon, chambres).

Ce flux permanent garantit une évacuation efficace de l’humidité et un apport d’air frais régulier, essentiel pour maintenir un taux d’hygrométrie stable et prévenir les moisissures.

1.1 Les deux variantes : Hygro A et Hygro B

La technologie hygroréglable se décline en deux versions principales, adaptées aux besoins de chaque type de logement :

• VMC Hygro A :

  • Les entrées d’air sont fixes ou autoréglables (débit constant).

  • Seules les bouches d’extraction modulent le débit d’air selon l’humidité.

  • Idéale pour les logements anciens ou rénovés où la régulation simple suffit.

• VMC Hygro B :

  • Les entrées d’air et les bouches d’extraction sont hygroréglables.

  • Le débit s’ajuste automatiquement à la fois à l’entrée et à la sortie.

  • Recommandée pour les maisons neuves à Cholet ou les immeubles collectifs, afin d’optimiser la performance énergétique et le confort.

💡 Astuce pratique : En zone humide ou dans les logements très occupés, le système Hygro B permet d’éviter les pics de condensation sans surventiler inutilement.

1.2 Fonctionnement automatique et adaptation à l’humidité

Les capteurs situés dans les bouches d’extraction détectent le taux d’humidité relatif (HR) dans l’air.
Lorsque celui-ci dépasse un seuil défini (environ 50 à 60 % HR), les bouches s’ouvrent davantage pour augmenter le débit d’extraction.
Dès que l’air redevient sec, elles se referment partiellement, limitant ainsi la consommation énergétique du moteur.

Ce régime variable permet de réduire jusqu’à 25 % la consommation d’électricité par rapport à une VMC autoréglable, tout en maintenant une qualité d’air constante.

2. Les composants d’une VMC simple flux hygroréglable

Les éléments principaux de ce système comprennent :

• Entrées d’air : situées dans les pièces principales (séjour, chambres), elles permettent à l’air neuf d’entrer dans le logement. Elles peuvent être fixes, autoréglables, ou hygroréglables, en fonction du système choisi (Hygro A ou Hygro B), pour un débit optimal.
• Bouches d’extraction : installées dans les pièces techniques (cuisine, salle de bains, WC), ces bouches ajustent le débit d’extraction en fonction de l’humidité dans chaque pièce. Elles sont hygroréglables, permettant une modulation en temps réel pour mieux réguler le niveau d’humidité dans le logement.
• Réseau de conduits : il relie les bouches d’extraction au bloc moteur. Ce réseau aéraulique doit être conçu de manière étanche et optimisée pour éviter toute perte d’efficacité et garantir la circulation de l’air sans perte de charge excessive.
• Bloc moteur ou groupe d’extraction : le bloc moteur est le cœur du système, chargé de créer la dépression nécessaire pour extraire l’air vicié vers l’extérieur. Ce bloc est dimensionné pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque logement, en fonction de la taille et du nombre de pièces techniques à desservir. Il peut inclure des vitesses réglables ou des modes de fonctionnement qui s’adaptent aux besoins en ventilation. Dans les logements individuels, un bloc moteur principal peut suffire, tandis que dans les grands logements ou immeubles collectifs, plusieurs blocs peuvent être nécessaires. Ce composant moteur assure une ventilation continue et contrôlée, et il est essentiel de bien le dimensionner pour éviter des consommations excessives et des nuisances sonores.

🧰 Conseil d’expert : Pour limiter les pertes de charge, le réseau aéraulique doit éviter les coudes à 90° et être conçu avec des angles de 45° maximum.

3. Dimensionnement et conception du système

Le dimensionnement de la VMC est une étape déterminante pour garantir son efficacité et sa durabilité.
Il dépend de plusieurs paramètres :

• La surface du logement (m² habitables),

• Le nombre de pièces humides,

• La configuration du réseau (longueur, coudes, diamètre),

• Les contraintes acoustiques et thermiques,

• Et le type de logement (individuel ou collectif).

3.1 Détermination des débits d’air : le cœur du dimensionnement

Le choix des débits d'air à extraire et à insuffler est fondamental dans la conception d’une VMC. Ces débits sont calculés en fonction de la taille du logement et du nombre de pièces techniques. L’objectif est de maintenir un renouvellement d’air suffisant pour garantir une bonne qualité d’air intérieur sans gaspiller d’énergie. En général, les débits minimaux sont définis pour chaque pièce technique :

• Cuisine : un débit minimal de 10 m³/h est requis pour permettre une extraction suffisante.
• Salle de bains et WC : les pièces humides nécessitent un débit d’air minimal de 5 m³/h pour évacuer l’humidité et prévenir les moisissures.

En fonction des règles d’hygrométrie, la bouche d’extraction en cuisine, par exemple, peut également offrir un débit temporaire plus élevé en cas d’humidité accrue ou de forte utilisation, notamment lors de la cuisson.

Le dimensionnement s’appuie sur les débits minimaux prescrits par l’arrêté du 24 mars 1982 (modifié par la RE2020) :

Ces valeurs garantissent une extraction suffisante pour maintenir une hygrométrie saine sans gaspiller d’énergie.

3.2 Calcul du débit global du logement

Le débit total nécessaire dépend du nombre de pièces techniques et du type d’usage.
La formule générale est :

Débit global = Σ (débits de chaque bouche d’extraction)

Exemple :
Une maison T4 avec 1 cuisine, 1 salle de bains, 2 WC →
45 + 30 + 15 + 15 = 105 m³/h minimum.

3.3 Types de systèmes et dimensionnement des entrées d'air

Les VMC hygroréglables sont déclinées en deux types : Hygro A et Hygro B, chacun nécessitant un dimensionnement spécifique des entrées d’air.

• Hygro A : Ce système utilise des entrées d’air autoréglables ou fixes, qui assurent un débit constant quel que soit le taux d’humidité de la pièce. Pour garantir un bon équilibre, les débits d’air de ces entrées sont calibrés en fonction de la taille des pièces principales, sous une pression de 20 Pa.
• Hygro B : Ce type de système repose sur des entrées d’air hygroréglables, principalement utilisées à partir des logements de type F2. Les débits d’air des entrées sont automatiquement ajustés selon l’humidité relative dans les pièces principales, permettant une gestion encore plus fine de la ventilation.

Ce choix du type de système doit se faire en fonction du nombre de pièces, de leur usage, et des habitudes de vie, pour assurer un bon renouvellement d'air sans excès de consommation.

3.4 Dimensionnement du réseau de conduits

Le réseau doit assurer la circulation fluide de l’air tout en limitant les pertes de charge :

• Diamètre recommandé : 80 à 125 mm selon le débit.

• Pertes de charge maximales : < 100 Pa.

• Longueur totale : < 30 m pour éviter une surconsommation du moteur.

Les conduits doivent être :

• étanches,

• isolés thermiquement (surtout en combles non chauffés),

• et facilement accessibles pour l’entretien.

Calibrage des conduits : Les conduits doivent être adaptés en diamètre et longueur pour permettre un débit suffisant dans toutes les pièces. Des coudes ou raccords mal placés peuvent créer des résistances supplémentaires, diminuant la circulation d'air et augmentant la consommation énergétique. Un angle maximal de 45° pour les coudes est recommandé pour minimiser les pertes de charge.

3.5 Choix du groupe d’extraction

Groupe d’extraction : Le choix de la puissance et de la capacité du groupe d’extraction est un autre aspect central. La taille du groupe d'extraction doit être adaptée au nombre de pièces techniques à desservir et à la taille du logement. Dans les logements individuels, un seul groupe principal peut suffire, tandis que dans les logements collectifs ou les grandes maisons, un ou plusieurs groupes secondaires peuvent être nécessaires pour couvrir l’ensemble des pièces techniques.

Précautions d’installation : Lors de la mise en place du réseau de conduits, il est essentiel de veiller à une bonne étanchéité des raccordements pour éviter les fuites d'air, ainsi qu’à la position des bouches d’extraction. Les bouches doivent être placées suffisamment hautes pour maximiser l’extraction de l’air vicié.

3.6 Coefficients de performance thermique et acoustique

Les systèmes de VMC hygroréglables doivent respecter les coefficients imposés par la RE2020 :

• Cdep*(coefficient de dépassement) : mesure la surventilation éventuelle du système.
  Valeur recommandée : ≤ 1,2 pour les logements neufs.

• Qvarepspec : débit spécifique de ventilation (m³/h/m²).
  Ce paramètre garantit une aération équilibrée entre efficacité et sobriété énergétique.

L’isolation acoustique est également un enjeu majeur :
Les bouches d’extraction doivent présenter un niveau sonore < 30 dB(A) à 1 mètre.

*Le Cdep est un coefficient multiplicateur appliqué aux débits d’hygiène pour tenir compte du dimensionnement des équipements (contraintes de dimensionnement de l’installation de ventilation telle que gamme de produits et la dispersion des caractéristiques de composants.)

En conclusion, le dimensionnement de la VMC simple flux hygroréglable est un processus qui doit être réalisé avec soin pour garantir un fonctionnement optimal du système. Il repose sur des calculs précis des débits d'air, un calibrage des conduits et un choix adéquat du groupe d'extraction. En respectant ces règles, les particuliers pourront profiter d’une aération efficace, sans excès de consommation d’énergie ni nuisances sonores.

4. Incompatibilités et points d’attention

Certains systèmes de chauffage et de rafraîchissement peuvent ne pas être compatibles avec la VMC hygroréglable. Voici les principales incompatibilités à prendre en compte lors de l’installation de ce type de VMC :

4.1 Climatisation gainable

Les systèmes de climatisation gainable, qui redistribuent l’air entre les pièces, ne sont généralement pas compatibles avec une VMC simple flux hygroréglable. En effet, la recirculation de l’air modifie l’hygrométrie des pièces, ce qui peut nuire au fonctionnement des entrées d'air hygroréglables de type Hygro B.

Source image : climshop.com

4.2 Climatisation multi-split

Les systèmes multi-split sont compatibles uniquement avec les VMC Hygro A.
En mode froid, la baisse d’humidité relative peut provoquer une fermeture prématurée des entrées d’air Hygro B, réduisant ainsi la ventilation.

4.3 Chauffage au bois ou à combustible solide

Un poêle ou une cheminée doit obligatoirement disposer d’une prise d’air directe depuis l’extérieur.
Sans cela, la VMC crée une dépression qui peut aspirer les fumées dans le logement, représentant un risque pour la sécurité.

5. Installation de la VMC à Cholet : étapes et bonnes pratiques

L’installation d’une VMC simple flux hygroréglable requiert une mise en œuvre rigoureuse pour garantir les performances attendues.

5.1 Étapes de pose

• Implantation des entrées d’air : en partie haute des fenêtres des pièces de vie.

• Positionnement des bouches d’extraction : toujours dans la zone la plus humide.

• Pose du réseau aéraulique : avec un tracé direct et une étanchéité parfaite.

• Installation du groupe d’extraction : en combles ou faux-plafond, sur support antivibratile.

• Raccordement électrique : via une ligne protégée dédiée (interrupteur bipolaire).

5.2 Réglages et essais

6. Entretien et maintenance

Un entretien régulier prolonge la durée de vie de la VMC et maintient ses performances :

⚠️ Ne jamais démonter les capteurs hygroréglables : ils sont calibrés en usine.

7. Avantages clés de la VMC simple flux hygroréglable

8. Étude de cas : installation d’une VMC simple flux hygroréglable à Cholet

Pour illustrer le fonctionnement concret d’une VMC hygroréglable, prenons l’exemple d’une maison individuelle située à Cholet, construite dans les années 1990 et rénovée en 2024.

8.1 Contexte et diagnostic initial

Avant rénovation, le logement présentait :

• un taux d’humidité supérieur à 70 % dans les pièces d’eau,

• des traces de condensation sur les menuiseries,

• et des odeurs persistantes dans la cuisine et les WC.

L’ancienne VMC autoréglable fonctionnait en continu, provoquant une sensation d’air froid en hiver et une surconsommation électrique.

8.2 Mise en œuvre

Sékure Travaux a opté pour un système VMC Hygro B de dernière génération.
L’installation a comporté :

• le remplacement des bouches d’extraction,

• la pose d’entrées d’air hygroréglables sur les menuiseries,

• la mise en place d’un groupe d’extraction à basse consommation (20 W),

• et l’isolation phonique des conduits dans les combles.

8.3 Résultats obtenus

Après 3 mois de fonctionnement :

• Humidité moyenne : réduite à 48 %

• Baisse des consommations : –22 % d’électricité liée à la ventilation

• Nuisances sonores : quasi nulles (mesurées à 27 dB(A))

• Confort thermique nettement amélioré.

💬 Témoignage client :

“Depuis l’installation de la VMC hygroréglable, l’air est beaucoup plus sain et les vitres ne sont plus embuées le matin. On sent la différence sans même entendre le moteur.”

9. Analyse économique et retour sur investissement

L’un des principaux atouts de la VMC simple flux hygroréglable réside dans sa rentabilité à long terme.

9.1 Coûts moyens constatés à Cholet

9.2 Économies générées

• Réduction de 20 à 30 % de la consommation liée à la ventilation.

• Diminution des déperditions thermiques (moins d’air chaud expulsé inutilement).

• Moins de coûts de rénovation liés à l’humidité (peintures, joints, menuiseries).

💶 Retour sur investissement (ROI) :
En moyenne 3 à 5 ans, selon la taille du logement et le modèle installé.

9.3 Comparatif énergétique

👉 La VMC hygroréglable combine efficacité, économie et simplicité d’entretien, ce qui la rend particulièrement adaptée aux logements choletais.

10. Les erreurs à éviter lors de l’installation

Même un système performant peut perdre son efficacité s'il est mal installé.
Voici les erreurs les plus fréquentes observées sur le terrain :

1. Entrées d’air obstruées ou mal positionnées
   → empêche le flux d’air correct et crée une dépression excessive.

2. Réseau aéraulique trop long ou coudé
   → génère des pertes de charge et augmente le bruit.

3. Bouches d’extraction mal calibrées
   → peut causer un déséquilibre entre les pièces.

4. Absence d’isolation des conduits en combles non chauffés
   → provoque condensation et pertes thermiques.

5. Oubli de nettoyage régulier
   → réduit jusqu’à 30 % l’efficacité du système.

🧰 Recommandation : Toujours faire appel à un installateur certifié RGE Ventilation (Reconnu Garant de l’Environnement), surtout pour bénéficier des aides financières.

11. Aides financières et subventions disponibles

L’installation d’une VMC performante peut être éligible à plusieurs dispositifs d’aides en 2025.

11.1 MaPrimeRénov’

Cette aide, versée par l’État via l’ANAH, finance la rénovation énergétique globale.
La VMC hygroréglable peut être intégrée dans un bouquet de travaux comprenant :

• isolation des combles,

• changement de menuiseries,

• installation d’une pompe à chaleur.

➡️ Montant moyen : jusqu’à 40 % du coût total, selon les revenus et le type de travaux.

11.2 Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)

Les CEE sont attribués par les fournisseurs d’énergie pour encourager la réduction des consommations.
Certaines VMC hygroréglables performantes (label NF VMC, moteur basse consommation) ouvrent droit à une prime énergie de 80 à 150 €.

11.3 Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ)

Permet de financer jusqu’à 30 000 € de travaux sans intérêt, en incluant la ventilation, sous condition de performance énergétique globale.

11.4 TVA à taux réduit

Le taux de TVA à 5,5 % s’applique à l’installation d’une VMC hygroréglable dans les logements de plus de 2 ans, réalisée par un professionnel certifié.

12. Comparatif : VMC simple flux vs VMC double flux

👉 En rénovation à Cholet, la VMC simple flux hygroréglable reste la solution la plus équilibrée entre coût, efficacité et simplicité.

13. Impact environnemental et efficacité énergétique

Installer une VMC hygroréglable, c’est aussi un geste écologique.

• 🌍 Réduction des émissions de CO₂ : moins de gaspillage d’air chauffé.

• ♻️ Optimisation de la consommation électrique grâce à un moteur basse tension.

• 🔋 Compatibilité avec la RE2020, favorisant la performance énergétique globale du bâtiment.

• 🏡 Durabilité accrue du bâti, grâce à une hygrométrie maîtrisée (évite condensation, moisissures, décollement de peinture, etc.).

💡 Un logement bien ventilé peut réduire jusqu’à 15 % ses besoins en chauffage.

14. Synthèse technique et recommandations finales

Pour bénéficier pleinement des avantages de la VMC simple flux hygroréglable à Cholet, voici les 3 règles d’or à suivre :

1. Un bon dimensionnement dès le départ
   → un débit adapté au volume du logement assure équilibre et efficacité.

2. Une installation rigoureuse et conforme
   → étanchéité, isolation phonique et positionnement stratégique des bouches.

3. Un entretien régulier
   → simple mais indispensable pour garantir la qualité de l’air et la longévité du moteur.

Conclusion générale

La VMC simple flux hygroréglable n’est plus une option, mais une nécessité pour toute habitation moderne à Cholet (49).
Elle combine performance énergétique, confort intérieur et durabilité du bâtiment, tout en respectant les exigences environnementales.

Que vous soyez propriétaire, artisan ou promoteur immobilier, adopter une VMC hygroréglable, c’est :

• améliorer la qualité de l’air,

• maîtriser vos consommations,

• et valoriser votre patrimoine immobilier.

👉 Pour un diagnostic précis ou un devis sur mesure, faites appel à Sékure Travaux, votre spécialiste de la ventilation et des travaux de rénovation à Cholet et dans le Maine-et-Loire.

🧰 Interventions : Cholet, Les Herbiers, Clisson, Vallet, Mortagne-sur-Sèvre, Sèvremoine, Les Epesses, Chemillé, Beaupréau, et communes voisines du 49.

❓ FAQ – VMC simple flux hygroréglable à Cholet

1. Quelle différence entre Hygro A et Hygro B ?
L’Hygro A régule uniquement à l’extraction, tandis que l’Hygro B ajuste aussi les entrées d’air selon l’humidité.

2. Quelle est la durée de vie d’une VMC hygroréglable ?
En moyenne 10 à 15 ans, à condition d’un entretien régulier.

3. Peut-on installer une VMC hygroréglable dans un logement ancien ?
Oui, surtout le modèle Hygro A, plus simple à adapter à une ventilation existante.

4. Quelle est la consommation électrique d’une VMC hygroréglable ?
Environ 30 à 50 kWh/an, soit 4 à 7 € d’électricité par an.

5. Faut-il un entretien professionnel ?
Un nettoyage annuel peut être réalisé par l’utilisateur, mais un contrôle technique est recommandé tous les 3 ans.

6. Quel est le coût moyen d’une installation à Cholet ?
Entre 700 et 1 200 € pour une maison individuelle, installation comprise.